Findrelease reviews and credits for Georges Delerue: Le concerto de l'adieu (Du spectacle "Les orgues de feu") - Prague Symphonic Ensemble on AllMusic - 2018
Dans les années 60, alors que les querelles étaient fréquentes entre les chapelles,Delerue faisait le pont entre la Nouvelle Vague Truffaut, Godard... et les films à spectacle de Philippe de Broca, les comédies de Gérard Oury Le corniaud, les polars de Melville L'ainé des ferchaux ou ceux dialogués par Audiard Garde à vue, Cent mille dollard au soleil.... Delerue est réputé pour ses nappes enveloppantes et lyriques comme celles du mépris, de Deux anglaises et le continent, qui correspond à son côté intimiste, mais aussi pour ses partitions orchestrales pour des films historiques Chouans, Dien Bien Phu et pour ses musiques proche du jazz Tirez sur le pianiste. C'est aux Etats-Unis qu'il finira sa carrière, auprès de Oliver Stone Platoon, Salvador ou de Mike Nichols Silkwood. Georges Delerue naît le 25 mars 1925 au sein d'une famille modeste, et devient très tôt apprenti métallurgiste dans une fabrique de limes appartenant à son oncle, tout en jouant de la clarinette dans des fanfares municipales. À 14 ans, il entre au conservatoire de Roubaix puis intègre plus tard celui de Paris pour y étudier la fugue, le contrepoint et la composition avec Henri Busser puis Darius Milhaud. En 1947, il se passionne pour la direction d'orchestre qu'il pratiquera par la suite comme un délassement après le travail solitaire de la création il dirigera d'ailleurs lui-même toutes ses musiques filmiques. Darius Milhaud pousse son élève à s'intéresser au monde du théâtre et du cinéma, et il lui propose même la direction d'une musique de scène destinée au metteur en scène Jean Vilar. Ce dernier fut tellement enthousiasmé par le talent de Georges Delerue qu'il lui offre le poste de régisseur principal de la musique de son festival. C'est ainsi que commence alors une riche carrière de musicien de scène pour le festival d'Avignon mais aussi pour les Arènes de Nîmes, la Comédie Française et le entre autres. Après avoir écrit quelques opéras comme Ariane avec Michel Polac ou Le chevalier de neige sur un livret de Boris Vian, il obtient un jour l'opportunité d'écrire pour le cinéma. Pour Georges Delerue, débute alors le parcours classique d'un musicien filmique, il signe d'abord de nombreux courts-métrages plus ou moins alimentaires comme Ingénieurs de la mer 1951, Madagascar 1954, L'Opéra Mouffe 1958 ou Les Surmenés 1958. Le Bel âge 1959 est l'un de ses tout premiers longs métrages comme compositeur, mais c'est en tant que chef d'orchestre qu'il est repéré par Alain Resnais pour écrire la valse de son film Hiroshima mon amour 1959 d'après le célèbre roman de Marguerite Duras. Ce sont aussi “trois petites notes de musique” que l'on retrouve sur Une aussi longue absence 1961 d'Henri Colpi, cette chanson interprétée par Cora Vaucaire et reprise aussi dans L'été meurtrier où elle est chantée cette fois par Yves Montand restera comme l'une des plus célèbres de sa carrière. Les délicieux Jeux de l'amour 1960 et Le farceur 1960 marquent les débuts d'une très longue collaboration avec le regretté cinéaste Philippe De Broca, réalisateur de comédies au style tendre et mélancolique, et surtout dénuées de toute vulgarité. Il signe aussi pour Claude Sautet l'émouvant Classe tous risques - 1960, Jacques Doniol-Valcroze l'excellent La dénonciation - 1962, Jacques Deray le maîtrisé et épuré Du rififi à Tokyo - 1962, et Julien Duvivier le sombre Chair de poule - 1963 de belles illustrations musicales pour des polars - un style qu'il maîtrise à merveille mais qui constitue pourtant la face cachée de son travail. C'est pour un autre film noir qu'il rencontre le grand François Truffaut Tirez sur le pianiste avec Charles Aznavour, la jeune carrière de Truffaut en tant que réalisateur ne faisait que commencer mais sa rencontre artistique avec Delerue fut l'une des plus importantes de sa vie, il déclarera d'ailleurs plus tard à Antoine Duhamel qui signa également la musique de quelques-uns de ses films comme Domicile conjugal ou La sirène du Mississipi que Delerue était le seul musicien qui lui convienne véritablement rappelons que F. Truffaut fit aussi travailler à deux reprises le grand Bernard Herrmann en hommage à Alfred Hitchcock. Jules et Jim 1962 et Antoine et Colette 1962 montrent toute l'étendue du talent de Delerue, aussi doué pour évoquer le bonheur perdu, la joie éphémère des amours débutantes comme le thème doux amer des Vacances sur Jules et Jim que la tristesse et la douleur. Dans la lignée de ses anciennes musiques théâtrales, Cartouche 1962 nous prouve son talent dans le film d'aventure à costumes, mélangeant pastiches baroques dont il usera énormément plus tard - parfois même un peu trop et beaux thèmes amples et lyriques comme lui seul savait le faire le thème d'amour du film annonce d'ailleurs déjà Le mépris. Il n'hésite pas non plus à travailler pour des films plus expérimentaux et difficiles comme son travail sur L'Immortelle 1963 - premier film réalisé par l'écrivain Alain Robbe-Grillet fondateur du Nouveau Roman qui trouvera plus tard son alter ego musical en Michel Fano - créateur de musiques électroacoustiques, parfaitement à l'aise pour illustrer l'univers ludique, surréaliste et souvent érotique de cet étrange cinéaste. Pour L'Aîné des Ferchaux 1963 de Melville, où il retrouve l'acteur Jean-Paul Belmondo, il compose une belle fresque lyrique évoquant les larges espaces de l'Amérique d'un Aaron Copland ou d'un Dimitri Tiomkin. La même année, il rencontre Jean-Luc Godard qui lui demande de travailler sur sa nouvelle production Le mépris, un film à gros budget avec Brigitte Bardot alors au sommet de sa popularité et Michel Piccoli. Visuellement très beau, le film est peut-être l'un des tout meilleurs de son auteur, les images panoramiques de l'océan et de l'île de Capri écrasée par le soleil inspirent à Delerue un score mahlerien, ample et poignant qui reste son plus connu à ce jour. Malgré ce succès, jamais plus Delerue n'aura l'occasion de retravailler avec Godard. C'est une toute autre atmosphère qu'il retrouve sur L'Homme de Rio 1964, nouvelle collaboration avec Philippe De Broca et Jean-Paul Belmondo, au rythme frénétique et à l'imagerie issue des bandes dessinées de Tintin, pour lequel il va fournir son plus beau score d'aventure générique purement brésilien une “batucada” et ambiances inquiétantes lors des scènes de suspense où harpes, célesta et cordes en sourdines tissent une musique aussi magique que mystérieuse - et à ce jour, totalement inédite sur CD. Le compositeur semble également parfaitement à l'aise sur Cent mille dollars au soleil 1964 - score musclé et efficace avec quelques notes arabisantes pour planter le décor du film. 1964 sera aussi l'année de deux chefs d'oeuvre absolus La Peau douce, drame de l'adultère selon François Truffaut, superbement interprété par Françoise Dorléac déjà héroïne de L'Homme de Rio et L'Insoumis du jeune et talentueux réalisateur Alain Cavalier. La Peau douce restera, à juste titre, l'une des musiques préférées du compositeur. Le générique est une merveille de finesse et de légèreté de touche, les deux amants Pierre et Nicole sont discrètement évoqués par une flûte mélancolique virevoltant au dessus d'une douce ondulation de cordes. Et Delerue atteint les sommets de son art quand l'écrivain Pierre rencontre l'hôtesse de l'air Nicole dans un ascenseur. Dépeignant à la perfection la culpabilité de Pierre mêlée inextricablement à l'excitation d'une passion amoureuse débutante, jamais les sentiments amoureux n'avaient été si finement évoqués dans une partition destinée au cinéma... S'inscrivant dans l'esprit français et délicat d'un Maurice Jaubert, Delerue évite tous les pièges de la description romantique conventionnelle comme celle d'un Korngold ou d'un Rozsa. Quant à L'Insoumis, il s'agit là encore d'une collaboration sans lendemain pour Delerue, car le jeune metteur en scène travaillera plus tard avec Maurice Leroux La chamade.L'Insoumis est le second film d'Alain Cavalier, il s'inscrit dans la lignée engagée et politique de son premier film Le combat dans l'île pour lequel le compositeur classique Serge Nigg avait déjà écrit un excellent score tourmenté et bartokien. Ce film raconte l'histoire de Thomas, légionnaire déserteur pendant la guerre d'Algérie joué par un hallucinant Alain Delon qui est engagé par un lieutenant de l' pour kidnapper et surveiller Dominique Servet, une femme avocat Lea Massari. Thomas finira par s'enfuir avec la captive en tuant son autre gardien Robert Castel ; mais blessé par ce dernier et au terme d'une gigantesque fuite qui lui fera traverser toute la France, il finira par mourir en regagnant sa maison luxembourgeoise où sa fille l'attend. Georges Delerue décide, avec l'accord du cinéaste, de faire démarrer la musique uniquement quand Delon sait qu'il peut mourir, c'est-à-dire juste après qu'il ait été blessé par Robert Castel. Musique écrite principalement pour cordes et piano soliste, elle égrène inlassablement un thème obsessionnel et sombre basé sur 4 notes au piano. Ce thème varie de façon envoûtante et hypnotique lors de la dernière rencontre entre Thomas et Dominique et prend une tournure absolument bouleversante durant les dernières images du film quand Delon s'écroule sur le parquet de sa maison après avoir jeté un dernier regard à l'enfant qu'il n'a pas vu grandir... Cette musique tout à fait exceptionnelle ouvrira la “Suite cinématographique”, sublime pièce de concert en forme de “pot-pourri” de ses meilleurs scores avec Le mépris, La nuit américaine, Le jour du Dauphin, etc... que Laurent Petitgirard a merveilleusement interprété au milieu des années 80. Parallèlement à sa carrière pour le cinéma, Delerue n'oubliera pas la télévision on lui doit les musiques de séries devenues cultes comme Les Rois maudits, Thibaud - chevalier des croisades ou Jacquou le croquant. Avec l'accordéon du Corniaud 1965, l'épopée romanesque de Viva Maria ! 1965 et l'extrême orient canaille des Tribulations d'un chinois en Chine 1965, Deleruemontre qu'il est aussi parfaitement dans son élément quand il s'agit de comédies joyeuses et bon enfant, très loin des tragédies de Godard, Cavalier ou Truffaut. Le Vieil homme et l'enfant 1967 et Heureux qui comme Ulysse 1970 lui donneront toutefois un peu plus tard l'occasion d'explorer à nouveau un registre dramatique et sensible qui deviendra vite sa marque de fabrique. Après un pastiche pop-rock façon Beatles pour Le Cerveau 1969, il commence à composer pour le cinéma étranger à l'occasion du très beau Women in Love 1969 de Ken Russell qui lui consacrera même une biographie humoristique pour la télévision dans Don't Shoot the Composer - 1966 où il affine encore son goût pour les thèmes tourmentés aux cordes, décrivant au plus près les sentiments enfouis des héros registre qu'il explorera encore dans L'important c'est d'aimer et La femme d'à côté. Pour Le conformiste 1970 du grand metteur en scène italien B. Bertolucci, il compose une élégante musique discrète mais finalement assez peu présente dans le film. Malpertuis 1971 - film fantastique peu connu du belge Harry Kümel lui offre l'occasion d'explorer une veine plus atonale et abstraite qu'il détaillera encore dans l'étrangeQuelque part quelqu'un 1972 - premier film obscur d'une Yannick Bellon désargentée L'amour nu, la femme de Jean pour lequel le généreux Delerue n'hésitera pas à payer carrément de sa poche l'enregistrement de la musique pour choeurs et orchestre ! La Nuit américaine 1973 sera une autre partition emblématique de sa longue collaboration avec F. Truffaut, son Grand Choral à la Marc-Antoine Charpentier reste encore dans toutes les mémoires des cinéphiles, malgré le fait qu'il masque quelque peu les autres moments musicaux émouvants et pudiques de ce film en forme d'ode au cinéma. D'après un roman de Christopher Frank, L'Important c'est d'aimer 1974 réalisé par le cinéaste expressionniste Andrzej Zulawski séparé ici de son compositeur fétiche Andrzej Korzynski, est un nouveau travail passionnant pour Delerue, qui tombe littéralement amoureux du film dès les premiers rushes Romy Schneider en actrice déchue obligée de jouer dans un film pornographique pour survivre. Inspiré par la façon dont Godard utilisa la musique du Mépris, Zulawski marque chaque scène d'un “tampon” musical un thème principal émouvant et désespéré pour cordes amples, un thème ricanant et sarcastique pour les personnages cyniques, un thème violent et chahuteur pour les scènes de combats ou d'orgies et un grandiose développement atonal pour la scène du théâtre où Klaus Kinski et Romy Schneider essayent en vain de trouver leur rédemption... Calmos 1975 - film du provocateur Bertrand Blier, sera pour lui l'occasion de composer un pur score de jazz - dans lequel il excelle également et qu'il pratique depuis ses études au conservatoire mettant généralement un point d'honneur à écrire lui-même les musiques de sources qu'on entend en fond sonore dans les scènes de bar ou de restaurant “La fête triste” de l'Insoumis par exemple. 1975 sera aussi l'année de Police Python 357, grand polar du jeune réalisateur et mélomane Alain Corneau qui contacte Delerue et lui fait écouter des disques de Monteverdi pour lui donner des idées sur la couleur musicale du film. Guidé par les indications de Corneau et par son amour pour la musique d'un Olivier Messiaen ou celle d'un Maurice Ohana, Georges Delerue compose un générique pour choeurs, clavecin et orchestre tout à fait atypique pour un film policier dissonant et tendu, mêlant passé et futur dans une même esthétique, il colle à merveille aux images froides qui ouvrent lentement le film en présentant la maison du solitaire et névrosé inspecteur Ferrot joué par un magistral Yves Montand. Le score assez court de Police Python 357 dont il ne reste à l'heure actuelle que fort peu de traces sur le strict plan discographique est hélas beaucoup trop sous-estimé et mériterait un bien meilleur sort, au vu de son importance. De plus en plus demandé à l'étranger, il obtient un oscar pour A Little Romance 1979 qui est pourtant loin d'être sa meilleure oeuvre pour le cinéma, et après avoir obtenu son premier césar en France pour le mozartien Préparez vos mouchoirs 1978 de Bertrand Blier, il gagne deux autres trophées pour L'amour en fuite 1980 et Le dernier métro 1981 - autres collaborations réussies avec F. Truffaut, alliance artistique qui culminera avec le poignant La femme d'à côté 1981 avec son écriture pour cordes sombre et tourmentée. C'est le même type d'atmosphère tragique qu'on retrouve sur Josepha 1982 - beau film de Christopher Frank sur des acteurs ratés essayant désespérément de s'en sortir. En 1982, Delerue retrouve Romy Schneider pour le film de Jacques Rouffio La passante du Sans-Souci pour lequel il écrit une belle Chanson d'Exil sur une mélodie d'inspiration juive. Malgré de belles réussites en France comme le dissonant et tendu L'été meurtrier1983, l'ample et mélodique L'africain 1982, ou le vénéneux Descente aux enfers1986, Georges Delerue finit par quitter son pays au milieu des années 80 pour travailler et s'installer définitivement aux États Unis. Il écrira là bas des scores commeMan, Woman and Child 1983, Silkwood 1983, le très beau Agnes of God 1985 qui rappelle un peu ses meilleures oeuvres françaises les choeurs et ostinatos de Police Python 357 ou les climats de La peau douce, l'excellent Salvador 1986, Crimes of the Heart 1986 ou Platoon 1986. Malheureusement, Delerue finit progressivement par s'épuiser au travail il refusera toute sa vie l'aide d'un orchestrateur - pratique pourtant courante dans l'industrie Hollywoodienne et son inspiration s'en ressent quelque peu,Chouans! 1988 ou La révolution française 1989 sont des oeuvres épiques réussies et soignées mais hormis leurs gros moyens techniques, elles n'apportent rien de plus par rapport à des travaux comme Cartouche ou Thibaud des croisades. Et en ce qui concerne ses scores américains, les mélodies raffinées et délicates du Farceur ou de La peau douce cèdent trop souvent la place à des pièces plus sucrées et conventionnelles. “Tours du Monde, Tours du Ciel” 1991 - écrite pour un documentaire télévisuel restera par contre dans les mémoires comme une de ses meilleures pièces de fin de carrière. En 1991, Delerue fait ré-enregistrer ses musiques de films anglo-saxonnes par un prestigieux orchestre de musiciens issus du London Symphony Orchestra et du Royal Philharmonic, pour 3 albums intitulés simplement “London sessions”, on peut évidemment regretter le choix de départ et l'absence d'oeuvres maîtresses comme Le mépris, L'insoumis ou Police Python 357. Le testament du compositeur est sans doute à chercher au sein du film Diên Biên Phùde Pierre Schoendoerffer pour qui il compose un ample Concerto de l'Adieu pour violon et orchestre de facture classique mais très inspiré. Après Man trouble et Rich in Love, le compositeur s'éteint à Los Angeles en 1992, laissant derrière lui une oeuvre colossale tant dans le domaine de la musique de film que dans le domaine de la musique “sérieuse” toujours aussi sous-estimée par le monde de la musique classique, et dont on est encore très loin d'avoir fait le tour. Répertoirepour Violon - Violon et Piano, en vente chez LMI - Suivi d'expédition, satisfait ou remboursé, catalogue de 300 000 partitions 01 Devienne Quatuor en do majeur, Op. 73, No. 1 I. Allegro spiritoso Jean-Luc Plourde Devienne 3 String Quartets, Op. 73 1007 Säveltäjät François Devienne 02 Devienne Quatuor en do majeur, Op. 73, No. 1 II. Adagio cantabile Benoît Loiselle Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0253 Säveltäjät François Devienne 03 Devienne Quatuor en do majeur, Op. 73, No. 1 III. Rondo, allegro moderato Mathieu Lussier Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0412 Säveltäjät François Devienne 04 Devienne Quatuor en fa majeur, Op. 73, No. 2 I. Allegro Jean-Luc Plourde Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0822 Säveltäjät François Devienne 05 Devienne Quatuor en fa majeur, Op. 73, No. 2 II. Adagio Olivier Thouin Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0415 Säveltäjät François Devienne 06 Devienne Quatuor en fa majeur, Op. 73, No. 2 III. Grazioso con variazioni Jean-Luc Plourde Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0622 Säveltäjät François Devienne 07 Devienne Quatuor en sol mineur, Op. 73, No. 3 I. Allegro con espressivo Jean-Luc Plourde Devienne 3 String Quartets, Op. 73 0859 Säveltäjät François Devienne GeorgesDelerue – Concerto de l’Adieu. Artist Various Artists Released 1999 Genre Inspirational. Georges Delerue – Concerto de l’Adieu-:--/ -:--Les archives radio. Interview à l'occasion du 70e anniversaire d'AFN Radio. Les infos qui valent le détour. Toots Thielemans 30/08/2016. Il est des êtres qui ont cette bonté inconsciente de tirer les autres vers le Haut, de 0% found this document useful 0 votes423 views101 pagesCopyright© © All Rights ReservedAvailable FormatsPDF, TXT or read online from ScribdShare this documentDid you find this document useful?0% found this document useful 0 votes423 views101 pagesListe Partition 022018Jump to Page You are on page 1of 101 You're Reading a Free Preview Pages 9 to 15 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 23 to 43 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 48 to 51 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 60 to 67 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 72 to 85 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 93 to 99 are not shown in this preview. Reward Your CuriosityEverything you want to Anywhere. Any Commitment. Cancel anytime. GeorgesDelerue est un compositeur et directeur musical de films. Il fut l'auteur de la musique de plus de 300 films. Etudes à l'Institut Turgot de Roubaix, puis au Conservatoire national supérieur de musique de Paris où il est 01 Antienne 1 pour violon et piano MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0301 Säveltäjät Georges Delerue 02 Concerto de l'adieu, version pour violon et piano MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 1056 Säveltäjät Georges Delerue 03 Aria et Final pour violoncelle et piano I. Aria MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0528 Säveltäjät Georges Delerue 04 Aria et Final pour violoncelle et piano II. Final MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0340 Säveltäjät Georges Delerue 05 Mouvements pour instruments à percussion et piano I. Prelude MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0221 Säveltäjät Georges Delerue 06 Mouvements pour instruments à percussion et piano II. Divertissement MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0448 Säveltäjät Georges Delerue 07 Mouvements pour instruments à percussion et piano III. Danse MINNA RE SHIN Georges Delerue Oeuvres pour piano et instruments divers 0343 Säveltäjät Georges Delerue
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0% found this document useful 0 votes262 views104 pagesCopyright© © All Rights ReservedAvailable FormatsPDF, TXT or read online from ScribdShare this documentDid you find this document useful?0% found this document useful 0 votes262 views104 pagesListe Partition 082018Jump to Page You are on page 1of 104 You're Reading a Free Preview Pages 8 to 22 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 27 to 30 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 37 to 58 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 63 to 69 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 81 to 86 are not shown in this preview. You're Reading a Free Preview Pages 91 to 101 are not shown in this preview. Reward Your CuriosityEverything you want to Anywhere. Any Commitment. Cancel anytime.
PartitionConcerto De L'Adieu de Georges DELERUE, Jan VALTA pour Orchestre d'harmonie avec soliste. Editeur et revendeur, Robert Martin vous propose la vente en ligne de plus de 50 000 partitions, livres et CD pour orchestres et musiciens depuis 1934 . Accès client. Votre panier est vide > Accès client > Votre panier est vide > Accueil > Magasin de Charnay > Recherche • Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € Toutes les musiques du monde Musique de films, du monde & divers Jazz & Musiques de films AuteurMessageInvitéInvitéSujet Georges Delerue cinéma 2006-10-29, 2148 A écouter d'urgence dans ses musiques de film - Le mépris- L'insoumis- La peau douce- L'important c'est d'aimer- Police python 357Les CDs sont sortis partiellement depuis 2000 sous le label Universal, et sont disponibles à 10 euros seulement dans les bacs de musiques de film collection Ecoutez le cinéma, n'hésitez pas, vous allez fondre !Un immense monsieur que je chérie tout particulièrement !Georges Delerue, né le 12 mars 1925 à Roubaix Nord et mort le 20 mars 1992 à Burbank Californie, est un compositeur et musicien français, spécialiste de musiques de films. Auteur de plus de trois cents musiques de films, il reçoit à trois reprises le César de la meilleure musique, en 1979 pour Préparez vos mouchoirs, en 1980 pour L'Amour en fuite et en 1981 pour Le Dernier Métro, et l'Oscar de la Meilleure partition originale lui est décerné en 1980 pour I love you, je t'aime. IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1815 Georges Delerue ne fait pas partie des compositeurs français que j'écoute le plus, toutefois, son Concerto de l'adieu - Dien Biên Phù un film de Pierre schoendoerffer est l'une de ses rares musiques qui arrivent à me faire fondre, avec son violon suspendu, d'une grande force mélancolique. Une autre musique assez belle et moins connue de Georges Delerue illustre la série télévisée Paul Gauguin réalisée par Roger Pigaut avec Maurice Barrier dans le rôle du célèbre peintre. La suite symphonique qui en a été tirée est un peu artificielle, comme beaucoup de suites "musico-cinémagraphiques". Certains morceaux sont vraiment courts et peu développés, sauf le principal, lui aussi d'une belle mélancolie. Il n'en demeure pas moins que, globalement, la suite Paul Gauguin reste attachante et d'esprit rêveur, même si elle me touche moins aujourd'hui qu'hier. Dernière édition par Icare le 2016-10-03, 2215, édité 1 fois joachimAdminNombre de messages 23977Age 76Date d'inscription 19/08/2006Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1824 Je me souviens bien du générique de Jacquou le Croquant, ce téléfilm qui avait bouleversé la France de la fin des années 1960 ! IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2014-06-26, 1853 Oui, je l'avais vu et beaucoup aimé. En revanche, je ne me souvenais plus de la musique. très joli thème aussi. IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0015 Les gens de ma génération et plus encore ceux des générations d'avant doivent connaître cette fameuse série Thibaud ou les croisades réalisée par Joseph Drimal et Henri Colpi. Moins sûr qu'ils se souviennent de la partition de George Delerue qui est belle et entraînante. Le thème principal est entêtant et plein d'entrain. Allez! Un petit rappel! Ah que j'étais jeune lorsque je regardais cette série à la télé! pourrions chanter ce thème en choeur. Bon, tout n'est pas dans cette veine, il y a aussi des thèmes plus doux, plus tendres, très caractéristiques du style romantique du compositeur - souvent, c'est un type de musique qui m'évoque le bonheur, le bien-être. Il y a parfois de la flûte solo, une couleur orientale ci et là. Un soupçon de nostalgie s'est emparé de moi, aujourd'hui, grâce à cette belle musique de édition par Icare le 2017-12-28, 2330, édité 2 fois laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0034 Moi je découvre, je ne connaissais pas cette série ni sa musique mais j'ai quelques années de plus bien sûr , je regardais Ivanhoe, Robin des bois, Lassie, Rintintin ... Thibaud, ça doit se situer lorsque les séries ne m'intéressaient déjà plus et que mes enfants n'en regardaient pas encore IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 0906 laudec a écrit Moi je découvre, je ne connaissais pas cette série ni sa musique mais j'ai quelques années de plus bien sûr , je regardais Ivanhoe, Robin des bois, Lassie, Rintintin ... Thibaud, ça doit se situer lorsque les séries ne m'intéressaient déjà plus et que mes enfants n'en regardaient pas encore Je me souviens d'"Ivanhoë" mais aussi d'une série western, pas "Au nom de la loi" mais "Hondo". J'aimais beaucoup le héros, ce cow boy solitaire avec Sam, son chien...Mais bon, on s'éloigne de t'offre, Laudec, un petit cadeau pour la flûte tiré de A Little Romance que, plus jeune, j'écoutais souvent toujours d'ailleurs. C'est frais, entraînant et ça met de bonne humeur. Si ma mémoire est bonne, il a reçu l'Oscar pour cette délicieuse partition. Tu peux d'ailleurs en trouver davantage sur Youtube si jamais tu souhaites approfondir un peu. laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-03-04, 1207 Très joli, en effet, merci Icare ça me donne envie d'aller en écouter d'autres et j'ai vu qu'il y beaucoup à découvrir sur YT IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 1909 Après un portrait consacré à Ned Rorem, je consacre une écoute exclusive à Georges Delerue. J'ai d'ailleurs commencé par un standard, une de ses musiques de films les plus connues, Le Mépris 1967, ce fameux film de Jean-Luc Godard qui réunissait Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Moins connu, j'ai réécouté une suite de sa partition pour le film de Jean-Pierre Melville, L'Aîné des Ferchaux 1962 et une suite de sa partition mélancolique et même sombre pour le film d'Alain Cavalier, L'insoumis 1964. Le dernier extrait de cette "Mort de Thomas" accompagne la mort du personnage principal joué par un jeune Alain Delon. J'aime assez bien ce morceau qui ressemble à une procession funèbre. laudecNombre de messages 5668Age 70Date d'inscription 25/02/2013Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 2130 De magnifiques musiques de film de George Delerue, je suis impressionnée par l'intensité des moments musicaux si Concerto de l'Adieu du film "Dien Bien Phu" Mépris , du film de Jean Luc Godard à la Liberté du film "Révolution Française", chanté par Jessye Norman le Grand Choral de "La nuit américaine" , des chefs d’ IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2016-10-01, 2224 Adolescent et même plus vieux, j'ai adoré ce film d'aventure signé Henri Verneuil qui réunissait en haut de l'affiche Jean-Paul Belmondo et Lino Ventura. Le film s'intitulait Cent-mille dollars au soleil 1963. Ce fut une superbe confrontation entre deux monstres sacrés du cinéma français avec la fameuse castagne finale. En revanche, je n'ai jamais été très fan de la bande-son de Georges Delerue dont le thème principal m'a toujours paru pompier. En fait, c'est surtout un motif cuivreux de quelques notes qui appuient le caractère dramatique du film et qui revient de façon trop récurrente tout au long de la ce qui lui donne un côté balourd irréversible. Je ne trouve ce motif cuivreux très "heureux" dans une écoute seule. Dans le film, ça passe évidemment mieux. Il y a bien un autre thème principal plus enlevé et optimiste qui deviendra dans sa forme la plus lyrique le "End Title", puis des petites touches sympathiques ci et là, notamment un "Old man out" plus enjoué et même ironique, mais bon, globalement, c'est surtout la musique qui accompagne un film que j'ai adoré. La chance pour moi c'est qu'elle est couplée avec la Suite symphonique, Paul Gauguin d'une durée de 25 minutes environ et tirée du film de Roger Pigaut; La vie fabuleuse de Paul Gauguin 1974. Et là c'est le grand Delerue qui s'y exprime un chef-d'oeuvre de mélancolie et de délicatesse, une merveille dans laquelle ce compositeur a l'habitude d'exceller. DaisybrailleNombre de messages 250Age 66Date d'inscription 24/05/2019Sujet Georges Delerue cinéma 2020-04-15, 1630 Durant mon confinement, j'ai regardé avec les oreilles énormément de films, dont certains ornés par Georges Delerue. J'ai lu toute sa filmographie ! Ach zo ! C'est presque notre Morricone français ! Un rien plus discret peut-être ! Mais comme il a été dit, de la douceur à la marche, de la flûte à la trompette... Il connaît toutes les nuances et peut donc peindre les images et les ambiances avec délicatesse et comprends qu'on l'aime ! IcareAdminNombre de messages 15937Age 58Date d'inscription 13/11/2009Sujet Re Georges Delerue cinéma 2021-08-08, 1936 Je n'arrive pas à me souvenir quelle fut la musique qui me permit d'entrer dans l'univers de Georges Delerue. Je pense qu'il devait s'agir de ses compositions pour Thibaut ou les croisades, une série télévisée française en 26 épisodes de 26 minutes, créée par France Bennys et Henri Colpi, réalisée par Joseph Drimal et diffusée entre le 2 novembre 1968 et le 28 décembre 1969 sur la première chaîne de l'ORTF. Elle est d'ailleurs devenue ma bande originale préférée du compositeur. J'avais très certainement vu, durant la même époque, Jacquou le Croquant de Stellio Lorenzi 1969. Je me souviens aussi et surtout de L'Homme de Rio de Philippe de Broca 1964 que j'avais vu plusieurs fois à la télévision. Je n'étais encore qu'un gamin, un adolescent ou pré-adolescent qui faisait déjà attention à la musique, surtout si celle-ci accrochait instantanément mon oreille, genre le fabuleux générique Les dossiers de l'écran - Morton Gould Spirituals. Mais, pour en revenir à Georges Delerue, j'avoue que les bandes-son de Jacquou le Croquant, L'homme de Rio, Le Corniaud, Le Cerveau, autant de films des années soixante que j'avais vus et revus pour trois d'entre eux, et surtout adorés, n'avaient produit aucun déclic en moi. Même aujourd'hui, je ne sais pas à quoi elles ressemblent, ne les ai jamais réécoutées hors-contexte. Seul son Thibaut avait su me séduire. Je ne peux donc pas dire que c'est par Georges Delerue que démarra ma passion pour la musique...de film ou non...contrairement à certains mélomanes, ce qui démontre que nous avons tous une appréciation différente, au fond aussi unique qu'une empreinte digitale, avec entre nous certains points de convergence et de divergence dont l'importance varie selon les sensibilités et les expériences. C'est au fil de mon intérêt pour la musique de film que, petit-à-petit, des musiques de Delerue se sont installées émotionnellement en moi et sur mes étagères cette musique atmosphérique poignante pour Police Python 357 d'Alain Corneau, Agnès de Dieu Agnes of God de Norman Jewison, Le Concerto de l'Adieu/Diên Biên Phu, Le Mépris, Gauguin, la petite musique obsédante qui illustre les scènes de crime dans Garde à vue, et quelques autres... Le dernier morceau de musique que j'ai bien aimé de Georges Delerue a été composé pour Salvador d'Oliver Stone 1985, un thème énergique, fortement dramatique, le générique-début pour un film que j'ai redécouvert récemment. Il y a des moments musicaux que j'aime beaucoup dans ce qu'il composa entre 1982 et 2002 pour La Cinéscénie du Puy du Fou. C'est un bel album que j'ai réécouté à l'occasion de mon nouveau cycle. Contenu sponsoriséSujet Re Georges Delerue cinéma Georges Delerue cinéma Page 1 sur 1 Sujets similaires» Georges Delerue 1925-1992» L'opéra au cinéma» L'orgue au cinéma» Georges GARVARENTZ» Georges van PARYSPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumToutes les musiques du monde Musique de films, du monde & divers Jazz & Musiques de filmsSauter vers

LeConseil départemental pour la musique et la culture de Haute-Alsace (CDMC), située à Guebwiller dans le Haut-Rhin, met à la disposition du public de sa médiathèque de partitions (partothèque) plus de 50000 ouvrages concernant les orchestres à vent, les harmonies, les fanfares, les brass-bands, tous instruments et chant mais aussi des monographies,

Tombé du ciel Charles Trenet interprète,auteur,compositeur Ein Kleiner Akkord Zarah Leander interprète Guenther Schwenn interprète Peter Igelhoff interprète Insensiblement Paul Misraki compositeur,auteur Tombé du ciel Albert Lasry compositeur Tout en flânant Louis Poterat auteur Quand un vicomte Ray Ventura interprète Insensiblement Ray Ventura interprète Quand un Vicomte... Ray Ventura interprète Quand un vicomte Mireille compositeur Quand un Vicomte... Mireille compositeur Quand un vicomte Jean Nohain auteur Quand un Vicomte... Jean Nohain auteur Tout en flânant André Claveau interprète Automne Alix Combelle interprète Paris Édith Piaf interprète L'or du Rhin - prélude Richard Wagner auteur,compositeur Clair de Lune Claude Debussy auteur,compositeur Valse op. Posthume en La mineur Frédéric Chopin auteur,compositeur Concerto for violin and orchestra Philip Glass compositeur Ulster Orchestra interprète États d'âme Edvard Grieg auteur,compositeur Concerto de l'adieu Georges Delerue compositeur L'or du Rhin - prélude Berliner Philharmoniker interprète Herbert von Karajan interprète États d'âme The Academy of St. Martin-in-the-Fields interprète Germany George Wilson interprète États d'âme Neville Marriner interprète Operation terminated John Ottman auteur La Savane Op. 3 Louis Moreau Gottschalk auteur,compositeur États d'âme Jérôme Lemonnier compositeur Clair de Lune Kate Dillingham interprète Richard Canavan interprète

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